Chante


Chante la vie chante on lyricstraining.com
Chante la vie chante
Comme si tu devais mourir demain
Comme si plus rien n’avait d’importance
Chante, oui chante
Aime la vie aime
Comme un voyou comme un fou comme un chien
Comme si c’était ta dernière chance
Chante oui chante
Tu peux partir quand tu veux
Et tu peux dormir où tu veux
Rêver d’une fille
Prendre la Bastille
Ou claquer ton fric au jeu
Mais n’oublie pas
Chante la vie chante
Comme si tu devais mourir demain
Comme si plus rien n’avait d’importance
Chante, oui chante
Fête fais la fête
Pour un amour un ami ou un rien
Pour oublier qu’il pleut sur tes vacances
Chante oui chante
Et tu verras que c’est bon
De laisser tomber sa raison
Sors par les fenêtres
Marche sur la tête
Pour changer les traditions
Mais n’oublie pas
Chante la vie chante
Comme si tu devais mourir demain
Comme si plus rien n’avait d’importance
Chante, oui chante
Chante, chante
La la la la la la la la
Comme si tu devais
Sors par les fenêtres
Marche sur la tête
Chante, oui chante

J'aime flâner sur les grands boulevards (Yves Montand)

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J’aime flâner sur les grands boulevards
Y a tant de choses, tant de choses
Tant de choses à voir
On n’a qu’à choisir au hasard
On s’fait des ampoules
A zigzaguer parmi la foule
J’aime les baraques et les bazars
Les étalages, les loteries
Et les camelots bavards
Qui vous débitent leurs bobards
Ça fait passer l’temps
Et l’on oublie son cafard
Je ne suis pas riche à million
Je suis tourneur chez Citroën
J’peux pas me payer des distractions
Tous les jours de la semaine
Aussi moi, j’ai mes petites manies
Qui me font plaisir et ne coûtent rien
Ainsi, dès le travail fini
Je file entre la porte Saint-Denis
Et le boulevard des Italiens
J’aime flâner sur les grands boulevards
Y a tant de choses, tant de choses
Tant de choses à voir
On y voit des grands jours d’espoir
Des jours de colère
Qui font sortir le populaire
Là vibre le cœur de Paris
Toujours ardent, parfois frondeur
Avec ses chants, ses cris
Et de jolis moments d’histoire
Sont écrits partout le long
De nos grands boulevards
J’aime flâner sur les grands boulevards
Les soirs d’été quand tout le monde
Aime bien se coucher tard
On a des chances d’apercevoir
Deux yeux angéliques
Que l’ont suit jusqu’à République
Puis je retrouve mon petit hôtel
Ma chambre où la fenêtre donne
Sur un coin de ciel
D’où me parviennent comme un appel
Toutes les rumeurs, toutes les lueurs
Du monde enchanteur
Des grands boulevards